Chababi

Chababi

Oum

La chanson Chababi a été composée par Oum spécifiquement pour le projet « L'Afrique à chanter », et enregistrée avec le musicien Carlos Mejias, qui joue du saxophone et du clavier. Le texte de cette chanson est en arabe dialectal marocain, que l’on appelle « darija ». « Chababi » signifie « ma jeunesse », et Oum a écrit cette chanson en s'inspirant de son fils de 12 ans suite à l'expérience du confinement.

« La jeunesse est la période la plus importante et déterminante de notre vie, chacun a le droit de bien la vivre dans des conditions saines, et grandir en apprenant, de façon ludique, s’éveiller en continuant d’avoir des rêves. » Oum

Les ressources pour chanter Chababi en classe sont disponibles ci-dessous.

Une vidéo introductive de Oum apporte des éclairages sur la prononciation des paroles :

Kemmy / Keyyi

Kemmy / Keyyi

Oum

Kemmy / Keyyi est une chanson écrite par Oum en tamazight, une des deux langues officielles du Maroc, comme un hymne aux libertés individuelles, « Amazigh » en berbère signifiant « celui ou celle qui est libre ».

Kemmy, qui veut dire « toi » (au féminin), est une chanson qui s’adresse à toutes celles qui sont obligées de vivre dans des contextes qui ne leur correspondent pas, et qui rêvent de la liberté d’être et de penser différemment.

Dans le cadre de « L'Afrique à chanter », Oum a adapté Kemmy (qu'elle avait déjà composée pour son album Dada) pour en faire Kemmy / Keyyi. C’est- à-dire « toi », au féminin, et « toi » au masculin, en tamazight.

Pour que les élèves puissent comprendre ce qu’ils chantent, Oum a adapté le couplet et le refrain en français. Kemmy / Keyyi  est donc une version bilingue de Kemmy, spécialement créée pour « L'Afrique à chanter ».

Toutes les ressources sont disponibles ci-dessous pour chanter en classe avec les élèves.

Une vidéo introductive de Oum apporte des éclairages sur la prononciation des paroles :

Fatimata

Fatimata

Diawara Fatoumata

La chanson Fatimata de Fatoumata Diawara a été composée spécifiquement pour le projet « L'Afrique à chanter »

Cette chanson est en bambara, une des 13 langues nationales du Mali. Elle raconte l'histoire de Fatimata, qui remercie ses parents de lui avoir permis d'aller à l'école.

Une vidéo introductive de Fatoumata Diawara explique le sens de la chanson et apporte des éclairages sur la prononciation des paroles :

Écouter la chanson complète : voix et instrumental

radiofrance · Fatimata

S'entraîner la version instrumentale seule

radiofrance · Fatoumata Diawara - Fatimata Instrumental

Sako

Sako

Diawara Fatoumata

La chanson Sako de Fatoumata Diawara a été composée spécifiquement pour le projet « L'Afrique à chanter ». 

« Sako » signifie « le souhait ». C'est ce qu’on rêve et ce qu’on souhaite pour quelqu’un. Dans Sako, Fatoumata Diawara parle de son amour pour les enfants, et elle s'adresse directement à eux pour les encourager à aller au bout de leurs rêves.

Une vidéo introductive de Fatoumata Diawara explique le sens de la chanson et apporte des éclairages sur la prononciation des paroles (à partir de 4mn03) :

Écouter la chanson complète : voix et instrumental

radiofrance · Sako

S'entraîner la version instrumentale seule

radiofrance · Fatoumata Diawara - Sako Instrumental

Ces chansons qui font l'histoire par Bertrand Dicale

Ces chansons qui font l'histoire par Bertrand Dicale

Les chansons peuvent à la fois influencer notre histoire et être le reflet d'une époque. Bertrand Dicale, dans une chronique diffusée sur Franceinfo en 2010, explore ces chansons qui ont immanquablement laissé une trace dans les esprits et dans les oreilles... Une occasion de réviser son histoire en musique !

1792 : La Marseillaise de Claude Joseph Rouget de Lisle, un universel hymne national

1824 : L'Hymne à la joie de Ludwig van Beethoven, la joie ou la liberté ?

1830 : Amazing Grace de John Newton, les États-Unis dans un seul cantique

1842 : Va Pensiero de Giuseppe Verdi, une galvanisation de la nation italienne

1867 : Le Temps des cerises de Jean-Baptiste Clément et Antoine Renard, l’amour et la révolution

1885 : En passant par la Lorraine, anonyme, se préparer à la guerre sous la IIIème République

1888 : L'Internationale de Eugène Pottier et Pierre Degeyter, chant des opprimés et chant des bourreaux

1917 : Chanson de Craonne, anonyme, le cri des mutins

1939 : Strange Fruit de Billie Holiday, le premier coup porté à la ségrégation

1943 : Le Chant des partisans de Joseph Kessel, Maurice Druon et Anna Marly, notre autre hymne national

1952 : La Mauvaise réputation de Georges Brassens, la morale change de camp

1963 : Blowin' in the Wind de Bob Dylan, la contestation commence

1965 : Hasta Siempre de Carlos Puebla, la fabrication du mythe Che Guevara

1975 : No Woman No Cry de Bob Marley, le Tiers Monde donne une voix au monde

1977 : God save the Queen des Sex Pistols, un pavé dans le consensus

1983 : Thriller de Michael Jackson, l’image surpasse la chanson

1991 : Smells Like Teen Spirit de Nirvana, les deniers du culte

1996 : Wannabe des Spice Girls, le girl power, ses ambiguïtés et sa victoire

Toutes les chroniques de Betrand Dicale sont à retrouver sur le site Eduscol.

Le Chant selon Sabine Devieilhe par France Musique

Le Chant selon Sabine Devieilhe par France Musique

Sabine Devieilhe, grande soprano colorature française, donne quelques éclairages sur la manière d'appréhender et de travailler sa voix dès le plus jeune âge, sur le terme "colorature", sur le travail d'une œuvre... le tout en chantant !

L'interview par Mattéo Iachkine sur le site de France Musique.

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Portrait de Blick Bassy Dans l'émission "Ocora Couleurs du monde" sur France Musique

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Portrait de Blick Bassy Dans l'émission "Ocora Couleurs du monde" sur France Musique

Entretien avec l'auteur-compositeur, guitariste et percussionniste camerounais Blick Bassy, pour son album "1958" paru chez No Format! et son premier roman "Le Moabi Cinéma" paru aux éditions Gallimard. Entretien réalisé à Arles dans le cadre des Suds en Hiver le 7 mars 2020.

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